A Dijon, on peut se réjouir de la reprise du DFCO par un entrepreneur bien connu à Dijon, Pierre-Henri DEBALLON.
Néanmoins, celui-ci n’a pas voulu racheter le centre de formation situé à côté du centre d’entrainement, en pleine zone d’activité à Saint-Apollinaire.
Le Maire-Président de la Métropole, à peine gêné aux entournures, a donc proposé que la Métropole le fasse.
J’ai voté contre cette décision déraisonnable. Ce n’est pas aux Dijonnais de payer les errements de la politique sportive de Monsieur Rebsamen.
Le prix de l’acquisition, près de 12 millions d’euros, est considérable. Il faut y ajouter les charges de fonctionnement annuelles et le risque de se retrouver un jour avec l’équipement sur les bras.
En réalité, nous subissons les conséquences d’une longue politique sportive de soutien déraisonnable au foot, qui se traduit notamment par un « Grand Stade », qui a couté plus de 40 millions d’euros, achevé seulement aux trois quarts, qui se retrouve aujourd’hui sous-utilisé.
Le 2ème repreneur du DFCO, ce sont les contribuables !