Après le scandale des massages pratiqués à la maison d’arrêt de Toulouse, le ministre de la Justice a pris une décision ferme et nécessaire : mettre fin à toutes les activités ludiques en prison qui ne concernent pas l’éducation ou le sport.
Dans une circulaire claire, il rappelle que les activités proposées en détention doivent toujours poursuivre un objectif de réinsertion, comme le travail ou la formation professionnelle. Il souligne également l’importance de respecter le sens de la peine, ainsi que les victimes.
Je soutiens cette décision : les prisons ne sont pas des centres de loisirs. Massages, yoga ou danse country n’ont pas leur place dans ces lieux de détention. Il faut restaurer l’ordre et l’autorité à tous les étages de la société.